Le théorème de l’énergie cinétique est certainement la meilleure voie pour résoudre les problèmes de calcul d’accélération de systèmes mécaniques soumis à des sollicitations extérieures ou intérieures, constantes ou non. Il est exploitable à partir du moment où on connait le mouvement du système mécanique (on sait dans quel sens se déplacent les différentes pièces du mécanisme); ce qui est le cas la plupart du temps. Ceci nous permet de nous affranchir d’un calcul algébrique. On détermine les intensités des différents vecteurs inconnus; ce qui réduit considérablement les risques d’erreurs.
Pour étayer cette affirmation, la seconde vidéo de cette play-list reprend tous les cas traités en utilisant le PFD. Suivent deux études de cas complexes qui vous permettront de vous entraîner à la résolution de problèmes délicats et enfin, la dernière vidéo traite d’un cas classique qu’on retrouve souvent en conception mécanique.
Présentation du théorème de l’énergie cinétique.
A partir du principe fondamental de la dynamique, on détermine la relation liant le travail des sollicitations appliquées à un solide et sa variation d’énergie cinétique.
Une question ou un commentaire?
Applications vues avec le PFD.
On se rend compte dans cette vidéo à quel point le théorème de l’énergie cinétique facilite les calculs par rapport à l’application du PFD.
Une question ou un commentaire?
Saut à l’élastique.
Où l’on se rend compte que l’application de ce théorème est simple, même dans des cas complexes. Par contre, la résolution mathématique peut poser des problèmes.
Une question ou un commentaire?
Arrêt d’un vélo sur plan incliné.
Le PFD peut venir en complément du théorème de l’énergie cinétique pour résoudre un problème de dynamique. C’est pour cela qu’il ne faut pas négliger le PFD.
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Calcul d’une chaîne cinématique.
Un cas d’école pour vos conceptions à venir quand un actionneur (moteur ou vérin) met en mouvement une chaîne cinématique. A partir de cet exemple, vous pourrez calculer n’importe quelle chaîne cinématique et déterminer le couple transitoire ou permanent de l’actionneur